Né à Saint-Louis, États-Unis, il a commencé à jouer de la batterie quand il était petit, trouvant son carburant vivant frappant les peaux. Bientôt, il a commencé à jouer de la batterie dans des groupes de rock.

Mais le rock n’était pas assez. Donc à un moment donné, il a déménagé à Boston, s’est inscrit à @berkleecollege et a étudié le jazz.
Mais alors, le jazz n’était pas assez. Donc il déménage à New York (où il a passé la majeure partie de sa carrière) et a commencé à jouer dans les clubs de Harlem, découvrant Ryhtm et Blues avec la communauté noire la plus inspirante.

Mais alors, le R&B n’était pas assez. Donc le gars a décidé de monter un groupe brésilien et a étudié ça, et quelques compétences cubaines.
Mais après, ça n’a pas vraiment suffi, tu sais… Alors il a commencé à faire des allers-retours en Haitï et en Afrique, pour apprendre la Bàta et les percussions africaines.

Dans tout ce voyage, ce n’est pas une surprise qu’il se soit retrouvé à jouer avec les plus grands, de John Mellencamp à Aretha Franklin, de Diana Ross à Chuck Berry.

Mais alors, eh bien, c’était assez ? Clairement pas, pas pour Jimmy. Il a donc déménagé en Europe, et a commencé à travailler sur un nouveau funk contemporain, inspiré par son fils Cain Daniel et la toute jeune génération, et nous en arrivons au point réel :
Construire une funktion dominante.

Dans ce projet, il est le leader et l’écoute, l’impulsion et l’engagement, l’enseignant et l’élève, l’expérience et l’humilité. C’est lui qui pousse sans relâche pour de nouvelles idées, de nouveaux défis, de nouvelles perspectives, comme toute sa vie l’a été.

Sur scène, vous le verrez donner chaque centimètre de son corps et de son âme, pour que l’énergie et le son atteignent le sommet de la musique du groupe. Vous pouvez l’appeler « Jimmy le tout puissant », mais si vous ne voulez pas le contrarier, je vous recommande vivement de ne pas le faire.
C’est comme ça qu’on construit une légende, parce que quand sa vie est faite de passion, le voyage ne finit jamais !

Tu me crois pas ? Venez voir…

Tombé de sa chaise devant les blues brothers à 7 ans, inscrit au conservatoire classique à 9, découvrant le jazz à 12, puis enfin intégrant son premier groupe à 14 pour jouer du skacore, on peut considérer que le parcours est plutôt atypique…

C’est un peu le syndrome du couteau suisse: il veut tout faire!
batteur de métal, prof de jazz, saxophoniste de ska, ou encore chanteur-choriste…

Dans Dominant Funktion, vous l’entendrez autant dans des solos sans fins, avec une disto ou une whammy à la quinte, qu’en accompagnateur posant des napes derrières.
Vous l’entendrez aussi faire le MC au micro, et la légende raconte que parfois il chante même un ou deux titres…

Surprises garanties à chaque écoute, à découvrir live de préférence!

Il débute la basse électrique en autodidacte à treize ans, au rythme de la fusion des années 90 (Red Hot Chili Peppers, Infectious Grooves) et de la funk de l’époque.
Après avoir développé son jeu dans des formations pop, rock, métal, il découvre le jazz et de ses dérivés par le biais de Jaco Pastorius, Marcus Miller ou encore Victor Wooten, et finalement arrive à la funk moderne inspiré par Snarky Puppy ou encore

Dans Dominant Funktion, c’est un socle rythmiquo harmonique qui sait autant poser ses sons que déployer de la triple croche suivant l’ambiance.
La fondation sur laquelle les hanches vont commencer à tressaillir sur du 7/4, c’est Bart.

Noguera power, groove 100% garanti (satisfait ou remboursé)